La Process Communication Management a validé ce que je savais déjà sur moi, m’a permis d’avoir de la compassion pour mes défauts et m’a encouragée à exprimer mes qualités. 

Elle m’a appris à faire de même pour autrui, développant ma compréhension de points de vue et de comportements différents des miens, améliorant mon écoute et ma capacité à m’adapter dans (presque) toutes situations.

Le modèle PCM m’a rendue responsable de ma communication et par la même m’a donné le pouvoir de prendre du recul et d’agir en conscience.

Cependant, sans la volonté d’exercer ce pouvoir respecteux et vertueux, la PCM ne va pas m’apporter grand chose. Ni aucun autre outil d’ailleurs.

Il manque un ingrédient : le désir.

Il faut d’abord vouloir utiliser la Process Communication.

C’est un processus en 3 étapes :

1) Répondre à ses besoins.

Appliquer la PCM à sois-même pour se sentir bien et rempli d’énergie avant de l’appliquer dans ses intercations.

2) Se donner la permission de se tromper et recommencer.

On apprend dans la pratique, elle nous mène vers l’excellence et le bonheur d’utiliser ce modèle si généreux.

3) Se reconnecter au plaisir.

A chaque type de personnalité sa méthode (en fonction de ses besoins). Le plaisir est un bel indicateur du succès.